•  

    Merci chers thaumaturges

    pas d'embellie pour les transmutations 

    de Laid en Beau façon Mister Ô !

     

    Zaza est citée trois fois au tableau d'honneur

    malgré les erreurs elle s'est accrochée jusqu'à la dernière minute !

    L'étape n'est pas gagnée mais le maillot blanc lui est attribué!

     

     

      Noune

     


     

    Que c’est LAID,cette façon de dire ces LAIS !

    On dirait que tu ne SAIS pas lire !

    Mais SANS mettre de SENS, on ne SENT rien du tout !

    Que du VENT !

    D’accord : ce n’est pas à la portée du premier VENU.

    Un VEAU peut-il nous éveiller au BEAU ?


     

       jill-bill

     

     

     


    PP et DD

     

    Ping Pong l'est LAID

     

    Poilu tel une LAIE

     

    De mine ne PAIE...

     

    A travers la BAIE

     

    Vitrée du haut à sa BASE

     

    Le visiteur l'observe avec un oeil de BUSE

     

    Pelage sombre comme BURE

     

    De nonne PURE

     

    Ou de moine PERE

     

    King Kong fier s'en PELE

     

    Queen Kong un second VELE

     

    Tout aussi VELU

     

    Meuglant tel un VEAU

     

    Ding Dong le BEAU !

       

     

     

     

    zaza

    Phase I

     

     

    C’était sans compter que j’avais tout compris de travers....

     

    BEAU comme un dieu, il était mon amoureux

    Mon regard fixé dans le BLEU de ses yeux

    Allongés confortablement dans les BLES

    L’un à l’autre, l’autre et l’un en LACE

    Dans ce champ, près du parc aux LACS

    LAID aux yeux du monde exprimant des couacs, couacs…

    zaza

    Phase II


    Qu’il est LAID, ce crapaud qui croasse ... croa … croa 

    Dans la mare du parc aux LACS, près de la chatte angora. 

    Crapaud et chatte se retrouvent en LACE 

    Et filent de concert dans le champ de BLES d’à côté. 

    La chatte aux yeux d’un BLEU lapis lazuli devint princesse

    Et de ce crapaud un BEAU prince naquit tout en finesse.

    zaza

    PHASE III

    (Pugnace, je persévère, mais ce sera le dernier essai)  

     

    Bonhomme ivre, si LAID et si gros

    Se gavant d’alcool et de LARD à gogo,

    Un BARD, nous dûmes amener pour servir de civière

    Et de très gros BRAS pour transporter bonhomme,

    L’hôpital se trouvant à la BASE de l’hippodrome

    Petit séjour de trois pour notre bonhomme, qui repartit

    Sur les chemins, sobre et BEAU, complètement épanoui.

     

     

      Ôlivier

     


     

      LES VRAIS JUMEAUX

     

    Abel est un garçon moralement très LAID,

    Dans le quartier, c'est lui le CAÏD

    Alors que son jumeau, CAÏN,

    Esprit subtil dans un corps SAIN

    Est honnête, chacun le SAIT.

     

    Leur ressemblance, quoi qu'il en SOIT,

    Pose problème aux habitants qui SONT,

    A tout moment, hésitants, on le SENT.

     

    Abel ou Caïn, d'où vient le VENT ?

    Nous dit dans la rue le premier VENU.

     

    Pourquoi l'un ne serait pas horriblement VELU

    Tandis que l'autre, doux comme un VEAU,

    Serait tout simplement très BEAU ?

     

     

      Tricôtine

      "Potions miraculeuses"

     

    On le disait très LAID

    chaque jour sur sa peau il appliquait du LAIT

    Une recette de bonne fame comme chacun SAIT

    il avait oublié de le laisser cailler SOIT !

    d'autres lui avaient dit le lait ? non cela se BOIT

    s'empressa de changer la méthode, puisque c'est mieux ainsi: alors je  BOIS

    avec quelques arômes qu'il trouvait bien BONS

    La mixture ingurgitée émit dans l'estomac de bien étranges SONS

    son intime conviction lui dicta le bon SENS

    Ces solutions ne sont pas dignes de foi, cela se SENT

    On se moque de moi, tout le monde me MENT!"

    Une envie pressante compressant son MEAT

    n'y tenant plus, soulageant sa vessie au bord d'un ruisseau, le regard BEAT

    découvrit son reflet.... qu'il trouva fort BEAU

     

    Moralité ... de laid à beau c'est une histoire de goût

     

     

     

     


    12 commentaires
  •  

    Merci chers thaumaturges

    d'avoir tricoté le fil qui nous ramène à Mister Ô !

     

     

      Noune

     

    pas de fioritures

    transmutation

    "nature"

     

     

    Pour un PERE

    Quoi de PIRE

    Que faire une PILE

    Plutôt qu’une FILE

    Avec ses FILS ?

     

    Martine du JDV

     

    accro

    y compris le mardi

    1 "arnactransmut"


    Cher PERE
    Il faut vous préparer au PIRE
    Que ce soit face ou PILE
    Même si ça vous BILE
    Je le sais, je suis VILE
    C'est décidé, je FILE
    Loin de votre FILS

     

    2 "Balladetransmut"

     

    Tu es bien le fils de ton PERE !
    Comment veux-tu que je GERE ?
    Où y a du plaisir, y a pas de GÊNE !
    Je me moque de ce que disent les GENS
    Essaye d'avoir un peu de bon SENS
    De toutes manières, avec ou SANS
    Je ne vais pas me ronger jusqu'au SANG.

    C'est comme ça depuis le big BANG...

    La porte du four a fait "BING"
    L'horloge au loin ding, dong, DING
    Il est l'heure que l'on DÎNE.
    Allez, quoique j'en DISE
    Viens par là me faire la BISE
    Et j'arrête de me faire de la BILE
    Ce sera comme ça peut : FILE !
    Tu es bien de ton père, le FILS !!

     

     

       jill-bill

     

    "filage Belgenglish humour"

    Tel père tel fils...

    Jules avait un coureur de PERE

    Mais une sainte MERE

    Qui avait accepté MEME

    Par un autre sang MELE

    L'enfant de sa maîtresse, un barge, un FELE

    Qui à l'anglaise avait FILE

    Avec l'argenterie, triste sire, triste FILS.... 

     

       Elo 

     

     transmutation sereine pour une première

     

     

    Du père au fils, on craint le pire!

    Mais ça tombe pile,

    Là, dans la file

    La solution qui les liera.

      m'annette 

     

    La transmutation était parfaite mais

    le texte est peu chamboulé à l'arrivée, la crainte

    du pire ?

     

    Son père craignait le pire! Chaque fois qu'il prenait le train, il se trompait d'horaire, ou de sens! Alors, se concentrant, il suivit la file de voyageurs afin d'acheter son billet. Il était pile devant le guichet quand son téléphone sonna: son fils l'appelait pour lui dire d'annuler son voyage, car c'était finalement lui qui venait....

    Il avait bien évité le pire....

     

     

      Anne 

     

    ne peut plus s'arrêter normal quand on y a goûté

     

    De père en fils

     

    Un homme, un père

    pelé comme une pomme

    plus pâle qu'un linceul

    paré d'un calme feint

    (il n'est pire tempête qu'intérieure)

    devant la jeunesse oubliée.

    Un matin, il pile devant une lettre

    file vers les escaliers

    jusqu'à la chambre

    vide

    du fils

    parti cette fois

    sans foin ni fanfare.

    Lui, là-bas

    fond devant son Eve

    fend son âme

    pend son coeur à ses lèvres

    perd l'esprit et

    père devient

    d'un fils.

     

     

    François & Marie

     

    comment auraient-ils pu ne pas transmuter ces joyeux mutins ?

    Bai -ambre-champagne était mon PERE.
    Il m'a transmis ses beaux yeux PERS.
    Aussi je rue des quatre FERS,
    Quand on me prétend - Alezan mon cher!
    Alors que Zain je suis,
    Couleur pruneaux des FARS bien cuits.
    Voyez l'entichement de mes FANS,
    Lorsqu'ils admirent mes jarrets FINS.
    A mes FILS je les léguerai. On dira d'eux - Jolis poulains!

     

      Ôlivier

    par l'odeur alléché nous tint...

    exactement ce langage

     

    Chère Tricôtine,

     

    Je sors de ma caverne, appâté par l'odeur des transmutations.

     

    Une version courte d'abord, sous forme de dialogue :

     

    • Père, je m'en vais, ici on se pèle !

    • Tu tombes pile, moi aussi je file, fils !

     

    Et puis, un peu plus travaillée, une version artisanale, avec un écho :

     

    Je suis un relieur prospère et avant tout un père ;

    Je n'ai plus d'érésipèle mais hélas je pèle,

    Et ça, ça m'horripile, sur la face, pile !

    Du coup mon dermato se défile, quand il me voit il file!

    Laissons là les tranchefils et buvons un p'tit coup mon fils!

     

     

     

      Tricôtine

    Au Père de mes fils

     

    te souviens tu de ta première gorgée de Père?

    ce bonheur en ta peau transpirait à chaque pore

    Amoureux de la vie que tu mènes à bon Port

    tu avais droit à une  belle part

    puis d'un second tu fus paré

    un troisième? une fille n'aurait pas fait le pire

    la chance nous a sourit, tombée du coté pile

    quatre nous sommes aujourd'hui, à la file

    merci pour cette famille : ils sont adorables nos deux fils

     

     

     


    20 commentaires
  •  
    Partir de Rien en ce mois de décembre

     pour les transmutations d'Ôlivier , et arriver quelque part...

    c'est passer du néon néant au néon bleu lagon

    il suffisait d'y croire...

    sommes en transhumance

    sur trans humeur express 

    grande vadrouille et traversée de Paris

     nous avons reconnecté les relais

    en route vers nos racines

     

    Vous qui passez ici, voilà notre prouesse....rien qu' en mots

    le tout Paris ... prouesse en ligne TGV.... à l'arrivée !!

     

     

     

    La course relais
     
    Nous étions vraiment partis de rien
    chacun devait y mettre du sien
    encourager l'équipe comme il sied
    dans cette éprouvante course à pied.
     
    Nous n'écoutions pas les vieilles pies
    brasser les médisances et soulever les lies
    promettre la défaite à notre destinée liée
    tenter d' entamer notre moral à la lime.


    Nous avions présenté notre plus fine lame
    si rapide, si légère qu'une gazelle se pâme,
    chaque tour de piste, était un pion damé
    l'équipe adverse  complètement à la rame 
    se délitait irrémédiablement, le moral sapé
    les invectives fusaient, on sortait le linge sale
    concurrents  mine défaite, le teint pâle
    déboussolés cherchaient encore le pôle.
     
    Nous gagnions, allions avoir le beau rôle
    singerions nous des paons jusqu'à faire la roue ?
    Notre entraineur,valait bien un Guy Roux
    avait scandé nos noms, jusqu'à la quinte de toux
    seuls,nous n'étions rien, ensemble nous étions tout
     

     @Tricôtinenvadrouille
     
     


    14 commentaires
  • les Lipogrammoureux(ses) ont sévi une fois de plus chez Olivier ce Jeudi

    rejoignez nous si cela vous tente, ça délasse les néons,

    antidépresseur sur ordonnance de Mister Ô

    en plus c'est remboursé par l'ONU

    toutes les infos ici et les prestations 

     

    Soyons clairs, vous n'avez droit à aucune autre lettre que les onze d' ESARTULINOC

    et vous êtes invités à rester dans l'esprit du poème en procédant à votre version qui,

    forcément, ne sera pas littérale.

    Vous pouvez fort bien écrire quelque chose de nettement plus court.

     "je vous invite à vous mettre dans la peau d'Esartulinoc durant cette deuxième session du Lipo-Club",

     le temps de réécrire, à votre manière, le poème de Jacques Prévert dont je vous donne le texte ci-après :

     

     

    Le message

    La porte que quelqu'un a ouverte

    La porte que quelqu'un a refermée

    La chaise où quelqu'un s'est assis

    Le chat que quelqu'un a caressé

    Le fruit que quelqu'un a mordu

    La lettre que quelqu'un a lue

    La chaise que quelqu'un a renversée

    La porte que quelqu'un a ouverte

     La route où quelqu'un court encore

    Le bois que quelqu'un traverse
    La rivière où quelqu'un se jette

    L'hôpital où quelqu'un est mort

     

    Voici nos deux essais, le premier en traduction littérale

    Néon a laissé voguer son zébulon pour le second

     

    l'allocution

     

    cette issue à la serrure close, la clé on a tourné

    cette issue là,on a close au sortir

    ce transat à son séant encore tout tracé

    ce courseur "sus aux souris ", aux cent caresses caliné

    cette cerise ci sous les crocs ciselée

    sur ce courrier on s'est instruit sans souci

    ce trône sous en sus retourné

    le sentier où il s'entraine sans cesse au cross

    ces taillis en tous sens croisés

    le ruisseau où il s' élance sans sourciller

    à cet asile,il a laissé sa santé, à la sortie, on l'a enterré

     

    lettre sous les sens

     

    cette issue-ci ,ce soir s'est éclose

    et close ensuite sans se soucier si l'on rentrait encore

    cette assise où un séant s'est sis, sourit

    au « souris surineur » sans cesse caliné

    cette cerisette là, si ciselée sous les crocs, c'est

    une lecture sournoise sur ce courrier ci

    ce trône aux sens en alerte sonnés, se tourne

    sur cette issue là encore éclose, senteurs ce soir...

    ça sent le sans arrêt sentier usité à la course,

    ça sent le sureau, taillé, l'écorce sciée, le silence

    non !....le ruisseau, ruisselle,s'écoule, ensorcèle..on s'élance à sa source, sous l'eau , on se laisse couler

    sans air, sans soins , on se noie, l'asile sans les sens, sans essence,  on enterre son coeur c'est certain et cesse alors le tic tac  séance tenante

     

    Une lipo session c'est aussi tentant ... qu'un chocolat croquant !

     


    12 commentaires
  •  

    Sur la proposition d' Ôlivier...

    (en tout bien tout honneur)

    je sais l'image peut prêter à confusion et à commérages

     

    bas longs

     

     

    (clic pour les explic)

     

     

    "Alors, musiciens, chanteurs et autres amateurs de bons mots bien sonnants, "

    accourez, je vous invite à la transmutation homophonique suivante :

    du tambour passez donc à la trompette.

    Faites des tours et des détours,

    des vers ou de la prose.

     

     

     

     

     

    voici  nos élucubrations de Novembre:  transmutation de type Phonique

     

    Oui, je sais soeurette que la lessive est terminée, ne sors pas le linge du tambour 

    Ne t'inquiète pas , je le mettrai moi même à sécher sur le palier, tantôt !

    plan d'approche du nouveau voisin, évitons le râteau

    cachons à la vue la lessive de soeurette et ses fâcheuses culottes petit bateau

    il sera judicieux d'offrir au regard une étendue de mes noirs bas longs

     Appâter aux "dessous affriolants" , le beau blond

    Je ne voudrais pas passer pour un vieux tromblon

    J'entends déjà dans l'immeuble ... résonner les quolibets "Triomphal Opéra Aïda" à la trompette.

     

     

              Layssy Von Hallalessiv (Tricôtine)

     

     

     

    Toutes les participations des transmutins et transmutines ont été publiées chez Mister Ô  Jeudi   (clic ici)


    18 commentaires


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